Depuis 2005, Géraldine Garçon ouvre les portes de son atelier biterrois. Elle y présente ses gravures, dessins et aquarelles ainsi que les photographies de Daniel Mielniczek.
L’atelier propose régulièrement de nouveaux accrochages. Les précédentes séries de gravures, de dessins et de photographies restent visibles sur place et sont disponibles à la vente. Pour être informé des nouveautés, vous pouvez consulter les derniers articles publiés sur nos sites respectifs en suivant les liens ci-contre. Depuis peu équipée d’une belle presse Reig, Géraldine propose des stages d’initiation et de perfectionnement en taille-douce. Ces stages ont lieu un week-end par mois. Pour toute information concernant les prix, formats et disponibilités, veuillez nous contacter par mail : CONTACT
GERALDINE GARÇON, DESSIN ET GRAVURE
Après une adolescence passée au Chili, au son de la cumbia, Géraldine Garçon rentre en France poursuivre ses études à l’école nationale supérieure des arts décoratifs de Paris. En 2002, fraîchement diplômée, elle croise le chemin de l’Association pour l’estampe et l’art populaire, où elle enseigne la taille-douce, tout en mangeant du guacamole. Fuyant la grisaille parisienne, elle réalise alors de nombreux carnets de voyage, de Santiago à Johannesbourg avant de s’installer à Barcelone. Forte de son expérience catalane, Géraldine prend racine à Béziers où elle élève actuellement ses enfants dans l’amour de la diversité et des bains de mer.
DANIEL MIELNICZEK, PHOTOGRAPHIE
Daniel Mielniczek naît en Pologne, à Varsovie, pendant la guerre froide et en décembre. A quatre ans, jugeant inadmissibles les événements de Prague, il quitte le bloc soviétique, passe le rideau de fer et s’établit en France, à Paris. Il obtient son brevet et, mû par les rythmes endiablés du Rock and Roll, adopte un mode de vie basé sur le noctambulisme. La réalité diurne finit par croiser son chemin sous la forme d’une quittance de loyer. Il se lance, au guidon de sa Vespa, dans une prometteuse carrière de coursier pour la presse économique. Au contact des ouvriers du livre, Daniel Mielniczek comprend que le monde n’est pas noir et blanc, c’est pourquoi il choisit la photographie en couleur.